Pâques 2010, et la miséricorde comme le vrai visage de Dieu

« La prière est plus forte que Dieu » disait le cardinal BOURNE. Le Seigneur l’a mise dans le cœur de l’homme, dans toute sa vie, dans son organisme même, car l’homme a besoin de prière autant que son corps a besoin d’oxygène.

PRIER c’est élever son âme vers Dieu en dialoguant avec Lui, comme un enfant avec son père , que ce soit en se servant de formules consacrées, de prières transmises par des générations ou des prières enseignées par Jésus Lui-même, comme le « Notre Père ».

Et voici qu’au 20ème siècle Jésus Lui-même a dicté à une âme privilégiée une prière magnifique : Le CHAPELET DE LA MISERICORDE.

Jésus, adoptant la méthode du chapelet, confie à une religieuse polonaise une nouvelle formulation de cette discipline répétitive du temps consacré à la prière.

alt

SOEUR FAUSTINE :

Hélène KOWALSKA, troisième de dix enfants, est née le 25 août 1905 dans le village de Glogowice, en Pologne, dans une famille pauvre et pénétrée d’un esprit profondément religieux. Hélène est une enfant exceptionnellement pieuse, priant sans cesse.

A seize ans, tout en travaillant comme servante dans une ville voisine, elle se sent appelée à donner sa vie au Seigneur, et ainsi le 1er aout 1925 elle est admise à entrer dans la Congrégation de la Mère de Dieu et de la Miséricorde divine à Varsovie. Elle débordait de joie : « J’entrais au couvent comme on entre au paradis ! »

Elle est alors envoyée à Cracovie pour commencer son noviciat, puis prend l’habit religieux et reçoit le nom de Marie-Faustine.

C’est en 1933 qu’elle y prononce sa profession perpétuelle et aura la vision de Jésus miséricordieux. Elle rencontrera alors l’abbé SOPOCKO qui deviendra son confesseur à qui elle confiera ses visions de Jésus miséricordieux.

Le 25 mars 1938 sœur Faustine voit Jésus qui s’incline vers elle en lui disant : « Ma fille, aide-moi à sauver les pécheurs »

alt

Sœur Faustine s’immole donc dans une lutte sans merci pour sauver les âmes. Et le 5 octobre 1938, elle fait ses adieux au monde, offrant sa vie pour le triomphe de la Miséricorde divine dans les âmes… elle a alors 33 ans, comme le Seigneur Jésus mourant sur la Croix !

Sœur Faustine, béatifiée le 18 avril 1993, a été la première canonisée de l’Année sainte 2000, le 30 avril, le dimanche qui suit celui de Pâques, désormais appelé « dimanche de la Miséricorde divine »

Que ce mois d’avril soit donc placé sous ce vocable de la Divine Miséricorde et que la totalité de l’œuvre du Salut du monde se réalise selon les désirs du Seigneur Jésus, notre Seigneur et notre Dieu !

« Jésus, j’ai confiance en Toi ! »

Père Philippe BLOT.mep

Pâques 2010 et la miséricorde, comme le vrai visage de Dieu

« La prière est plus forte que Dieu » disait le cardinal BOURNE. Le Seigneur l’a mise dans le cœur de l’homme, dans toute sa vie, dans son organisme même, car l’homme a besoin de prière autant que son corps a besoin d’oxygène.

PRIER c’est élever son âme vers Dieu en dialoguant avec Lui, comme un enfant avec son père, que ce soit en se servant de formules consacrées, de prières transmises par des générations ou des prières enseignées par Jésus Lui-même, comme le « Notre Père ». Et voici qu’au 20ème siècle Jésus Lui-même a dicté à une âme privilégiée une prière magnifique : Le CHAPELET DE LA MISERICORDE. Jésus, adoptant la méthode du chapelet, confie à une religieuse polonaise une nouvelle formulation de cette discipline répétitive du temps consacré à la prière. SŒUR FAUSTINE : Hélène KOWALSKA, troisième de dix enfants, est née le 25 août 1905 dans le village de Glogowice, en Pologne, dans une famille pauvre et pénétrée d’un esprit profondément religieux. Hélène est une enfant exceptionnellement pieuse, priant sans cesse. A seize ans, tout en travaillant comme servante dans une ville voisine, elle se sent appelée à donner sa vie au Seigneur, et ainsi le 1er aout 1925 elle est admise à entrer dans la Congrégation de la Mère de Dieu et de la Miséricorde divine à Varsovie. Elle débordait de joie : « J’entrais au couvent comme on entre au paradis ! » Elle est alors envoyée à Cracovie pour commencer son noviciat, puis prend l’habit religieux et reçoit le nom de Marie-Faustine. C’est en 1933 qu’elle y prononce sa profession perpétuelle et aura la vision de Jésus miséricordieux. Elle rencontrera alors l’abbé SOPOCKO qui deviendra son confesseur à qui elle confiera ses visions de Jésus miséricordieux. Le 25 mars 1938 sœur Faustine voit Jésus qui s’incline vers elle en lui disant : « Ma fille, aide-moi à sauver les pécheurs » Sœur Faustine s’immole donc dans une lutte sans merci pour sauver les âmes. Et le 5 octobre 1938, elle fait ses adieux au monde, offrant sa vie pour le triomphe de la Miséricorde divine dans les âmes… elle a alors 33 ans, comme le Seigneur Jésus mourant sur la Croix ! Sœur Faustine, béatifiée le 18 avril 1993, a été la première canonisée de l’Année sainte 2000, le 30 avril, le dimanche qui suit celui de Pâques, désormais appelé « dimanche de la Miséricorde divine » Que ce mois d’avril soit donc placé sous ce vocable de la Divine Miséricorde et que la totalité de l’œuvre du Salut du monde se réalise selon les désirs du Seigneur Jésus, notre Seigneur et notre Dieu ! « Jésus, j’ai confiance en Toi ! »